
L’éclairage de bureau est un élément souvent sous-estimé dans l’aménagement des espaces de travail, mais son impact sur la productivité, la santé et le bien-être des collaborateurs est indéniable. Réaliser une étude d’éclairement est une étape essentielle dans la création d’un environnement de travail au service de ses utilisateurs.
Mais, en quoi consiste réellement cette analyse ? Quels sont les risques d’un mauvais éclairage pour une entreprise ?
Le coût d’une étude d’éclairage dépend de plusieurs facteurs :
De manière générale, l’une étude d’éclairage est proposée gratuitement par la plupart des fabricants dans le cadre du chiffrage du projet.
Fatigue visuelle
un éclairage trop faible ou mal réparti oblige les yeux à travailler davantage pour compenser le manque de lumière, ce qui peut entraîner des maux de tête, des irritations oculaires et une baisse de concentration.
Diminution de la productivité
des bureaux mal éclairés forcent les collaborateurs à redoubler leurs efforts pour effectuer des tâches avec précision, entraînant une baisse d’énergie, de productivité et de motivation.
Risque d’accidents
un éclairage inadapté peut augmenter le risque d’accidents au travail, notamment dans les espaces où une bonne visibilité est cruciale, à l’instar des escaliers, ou des espaces de stockage.
Ces niveaux d’éclairage garantissent une bonne visibilité sans fatiguer les yeux, à condition que la lumière soit répartie uniformément.
Il faut éviter les zones d’ombre et les contrastes lumineux trop marqués, qui provoquent inconfort et fatigue oculaire.
L’utilisation de pavés LED et de luminaires à lumière diffuse est recommandée pour assurer une répartition homogène de la lumière tout en limitant les reflets sur les écrans.
Il est aussi conseillé de tirer parti de la lumière naturelle en plaçant les bureaux près des fenêtres.
À moins de 6 mètres : espace en premier jour
Au-delà ou séparés par une cloison vitrée : espace en second jour
Les espaces borgnes ou aveugles (sans lumière naturelle directe ou indirecte) ne doivent pas accueillir de postes de travail.
Enfin, pour un confort lumineux optimal, il est pertinent de prévoir des éclairages réglables selon les moments de la journée, afin de maintenir une ambiance visuelle agréable et adaptée au rythme de travail.
Dans une salle de réunion sans fenêtre, le manque de lumière naturelle pose un défi particulier. Bien que le niveau d’éclairement recommandé reste identique à celui des pièces bénéficiant de fenêtres, soit entre 300 et 500 lux, il faut investir davantage dans des solutions lumineuses performantes pour compenser l’absence de lumière extérieure.
Dans ces espaces clos, l’éclairage artificiel devient l’unique source lumineuse.
Il est donc crucial de combiner plusieurs types de luminaires pour garantir une luminosité homogène, sans éblouissement ni zones d’ombre.
L’utilisation de plafonniers diffusants à lumière indirecte est particulièrement adaptée pour éclairer la pièce de manière uniforme.
Dans les salles sans fenêtres, ou dans le cadre du travail de nuit, il est particulièrement pertinent d’opter pour des systèmes d’éclairage biomimétiques.
Ces dispositifs imitent la lumière naturelle en ajustant couleur et intensité selon l’heure ou l’activité, favorisant ainsi la concentration et le confort visuel des équipes.
C’est précisément dans ce domaine que Libu se positionne en tant qu’expert.
Spécialisée dans l’éclairage circadien, l’entreprise propose des solutions sur mesure qui imitent les cycles naturels de la lumière pour accompagner les besoins des collaborateurs tout au long de la journée.
Cette technologie contribue à synchroniser le rythme biologique, limitant la fatigue, la somnolence, et les troubles liés à la désynchronisation circadienne.
Que ce soit pour des open spaces, des bureaux individuels, des espaces de repos, des salles de réunion sans fenêtres ou pour le travail de nuit, les solutions développées par Libu sont adaptées à chaque environnement professionnel, tout en respectant les normes d’éclairage en vigueur.
En France, la norme NF EN 12464-1 fixe les niveaux d’éclairement minimum pour différents types de bureaux et tâches. Par exemple, un open space doit avoir un minimum de 500 lux pour les tâches visuelles courantes.
Non, mais les pavés LED sont souvent recommandés pour leur efficacité énergétique et leur capacité à offrir un éclairage homogène et non éblouissant. Ils sont également plus durables que les systèmes d’éclairage traditionnels et permettent de mieux respecter les normes d’éclairement.